Le mot, être vivant, longévif et mortel. Le dernier soupir de certains amalgames comme une promesse de second souffle pour que toustes puissent se (re)trouver. Loin de l’inertie, des mots dôtés de vie et sujets à des transformations et remises en question. Reconfigurations du champ lexical. Loin du champ de bataille, de l’aliénation, du bruit et de la déraison, la prise de conscience. Reconnaissance des mots-grenade, des mots saturés d’Histoire(s) et chargés de traumatismes, des mo(r)ts qu’il faut enterrer au même titre que les lettres qui discriminent et condamnent. Ecarlates. Loin de la haine décomplexée ou déguisée, déconstruire le langage pour s’élever et renouer avec les mots d’amours et calembours, les mots-valises et mots d’excuse, les mots bleus de la mélancolie, les vers de la poésie