
Congo, t'ignorer n'est plus un choix !
“L’ignorance, à un moment donné, quand on a autant d’outils, est un choix. Et l’indifférence aussi.”
Raïssa M’bilo
Parresia, c’est la voix, les voix, de la jeunesse bruxelloise, dans ce qu’elle a de multiple, dans toute sa diversité. Et nous nous devions de parler du Congo.
De la guerre qui sévit là-bas. De la déresponsabilisation de l’Occident. Des regards racistes. Du déni.
À travers les récits des jeunes, qu’iels soient né·e·s ici ou là-bas, Parresia veut permettre de comprendre, de manière factuelle et personnelle, les tenants et les aboutissants de la violence qui sévit à Goma et au-delà.
En pointant du doigt les interventions étrangères, le poids du colonialisme et notre racisme systémique.
Merci déjà à Mouna, Ance, Raïssa, Charlotte et toustes les autres.
Le podcast
A écouter dans ce podcast :
[Mauvais genre]
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Les articles

Née à Kinshasa et arrivée il y a 2 ans à peine sur le territoire belge, Mouna Kabadi écrit sur ce pays «trop riche pour être libre, trop beau pour qu’on le laisse en paix ». À près de 9000km de chez soi et à 18 ans à peine, que ressent-on face à l’injustice, aux crimes impunis et aux langues arrachées ? La sienne, elle se refuse à la laisser dans sa poche. Elle donne de la voix. Celle d’un peuple. Celle de la liberté. Celle de sa terre, le Congo.

Parresia a voulu tenter de comprendre la cause du massacre de ces derniers mois au Congo. En réalité, les causes sont multiples, l’Occident est loin d’être innocent, et les violences subies par le peuple congolais durent depuis des décennies…
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